Carine Habauzit
Laurène Barnel polyphonies à deux voix
samedi 15 juin 18h
vernissage de l'exposition Donner à voir
Amarre prend la forme d'un dialogue polyphonique qui explore un répertoire lié à l'imaginaire des eaux. S'y mêlent comptines, compositions originales et berceuses, chants de femmes où s'expriment leurs espoirs, leur tendresse et leurs troubles. Cet ensemble rassemble voix et percussion au sein d'un univers intimiste et épuré. C'est un voyage artistique traversé par l'idée de cycle, celui d'une existence humaine portée par la cadence des éléments au fil des âges de la vie.
du 25 juillet au 15 août 2024
jeudi 25 juillet 2024 20h30 au caveau
David Louwerse violoncelle
Guillaume Hodeau bandonéon
Très vite emballés par ces sonorités sud-américaines, nous sommes prêts pour un grand saut dans le passé dans lequel Guillaume Hodeau et David Louwerse revisitent avec ferveur et intelligence quelques chefs-d'œuvre de Vivaldi, Bach, Marais... Tout un programme !
jeudi 1er août 2024 20h30 au salon
Une belle histoire s'est écrite au fil des saisons musicales au château d'Alba avec Karine Grosso.
L'écrin qu'offre ce lieu se prête particulièrement bien au caractère intimiste de la soirée que la pianiste propose, mêlant textes et musiques de Beethoven, Rachmaninov, Chopin, Scriabine... Invitation à un voyage dans les mondes colorés de ceux qui l'inspirent et l'accompagnent depuis toujours.
Florence Creugny
Alexandre Bernoud guitares
jeudi 8 août 2024 20h30 au caveau
Isaac Albéniz n'a certes pas écrit pour la guitare mais ses compositions, l'esprit de sa musique, inspirée tant par son pays natal, l'Espagne que par ses voyages à travers le monde, conviennent parfaitement bien à la guitare. Cordoba, Sévilla, Castilla, Tango... autant de joyaux musicaux transcrits pour deux guitares que le duo Thémis interprète avec une grande maîtrise du phrasé et des couleurs d'une grande richesse.
Pierre Bouyer pianoforte
Nicole Tamestit violon
jeudi 15 août 2024 20h30 au caveau
Sur des instruments d'époque. La violoniste Nicole Tamestit et le pianofortiste Pierre Bouyer font des miracles de poésie, d'intelligence partagée et de sensibilité accordée. Ils suivent avec allégresse et sensibilité les pleins et les déliés avec un sens de la ligne et de la pulsation qui n'a rien à envier à Goldberg/Lupu (Decca), voire Grumiaux/Haskil, dans une interprétation moderne.Diapason